Canalblog
Editer la page Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Des Pyrénées au lac Baikal
Des Pyrénées au lac Baikal
  • Bienvenue, Je vous invite à regarder les images des sites, de la flore, de la faune et des visites au cours des mes Balades et Randonnées dans les Pyrénées et dans divers pays d'Europe et d'Asie. Alain BIGOU
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Archives
Visiteurs
Depuis la création 53 427
Derniers commentaires
Newsletter
2 abonnés
Pages

Hôtels Particuliers de Montauban

Petite visite de quelques Hôtels Particuliers de Montauban

Les hôtels particuliers montalbanais présentent une architecture médiévale fortement influencée par les pratiques locales. Ils sont souvent caractérisés par un corps de logis dont la façade en brique donnant sur la rue est en général sobrement décorée. Un passage couvert conduit à une cour intérieure plus ou moins étroite, entourée par les autres corps du bâtiment, dont l'exigüité ne permet pas l'aménagement de jardins.

I290b Centre ville de Montauban

Photo du centre historique de Montauban

Les hôtels sont situés au cœur de l'ancienne ville, en bordure d'anciennes fortifications aujourd'hui disparues et le long des voies principales de circulation du faubourg du Moustier et de Villebourbon.

Les hôtels du centre-ville sont bâtis sur des parcelles étroites datant du Moyen-âge, sauf modification plus récente ils sont relativement étroits. Calqués sur des modèles médiévaux, ils possèdent un escalier intérieur en colimaçon et une galerie de circulation desservant les divers corps du bâtiment.

Les hôtels bâtis à l'emplacement des anciennes fortifications disposent de plus de place et bénéficient d'un plus large vue. Des jardins y ont été aménagés sur les fossés comblés.

A Villebourbon, sur la rive gauche du Tarn, à proximité du port par lequel transitaient toutes sortes de marchandises de riches industriels et négociants ont fait bâtir aux XVIIe et XVIIIe siècles de grands hôtels sur la rive gauche du Tarn. Les grandes salles voûtées du rez-de-chaussée servaient d'atelier ou d'entrepôt, les étages étaient réservés aux logements.

Deux des plus grands hôtels particuliers montalbanais sont situés dans le faubourg du Moustier. Les bâtisseurs disposaient d'espaces propices à la constructions de grands ensembles avec cours et jardins. Ainsi, l’hôtel de Granès et l’hôtel de Lesseps possèdent de véritables parcs, alimentés en eau par le Tescou qui coule en contrebas. I294 Hôtel des Péchels

Hôtel des Péchels, rue des Soubirous-Bas

La visite "Hôtels particuliers de Montauban", a eu lieu le 28 janvier 2017. Tout d'abord notre guide a rassemblé le groupe de visiteurs devant une grande photographie aérienne de la ville dans une salle de l'Office de Tourisme. Elle nous a raconté en détail l'histoire de la ville, son expansion et les particularités de son architecture.

Ensuite nous avons marché dans les rues et pénétré dans les hôtels ouverts à la visite. Nous avons pénétré dans les cours intérieures, avons gravi les fameux escaliers desservant les étages et les galeries. Cependant hormis les parties communes, nous n'avons pas eu accès à l'intérieur des maisons, cela se comprend. Pour certains hôtels, non ouverts à la visite nous nous sommes contentés de la vue de la façade depuis la rue.

De l'Ancien Collège nous avons suivi la rue des Soubirous bas et nous sommes entrés dans  l'hôtel des Pechels qui débouche dans la rue de la Résistance. Dans cette rue nous aons visité le 52, puis le 62, l'hôtel Marthe Blanche. De là nous sommes entrés dans la cour de l'hôtel Rous de Feneyrols au 2 Porte du Moustier, puis nous sommes passés devant l'hôtel Vialètes de Mortarieu au 5 de la rue Lasserre. Ensuite nous avons longé la place de la Cathédrale et pénétré dans la rue du Docteur Lacaze ou se trouve l'hôtel Montet-Noganet (au n°2). En suivant la rue de la République nous avons marché jusqu'au pont des Consuls duquel nous avons profité de la superbe vue sur la Mandoune et les immeubles qui la bordent. En remontant vers le centre-ville nous avons pris la rue Léon de Maleville, puis la rue Cambon dans laquelle se situent plusieurs hôtels dont l'hôtel Galabert d'Aumont (n°12), l’hôtel Lefranc de Pompignan (n°10) et l’hôtel de Colomb (n°6). C'est dans cette rue que s'est terminée la visite.  

I448 Hôtel de Colomb

 L'hôtel de Colomb, rue Armand Cambon

Un mois plus tard, le 25 février, à l'occasion d'une petite heure à perdre, j'ai visité le quai Villebourbon et observé les édifices situé entre le Tarn et l'avenue du Général Sarrail. Fait étonnant du hasard, au moment ou je passais près de l'escalier qui descend du Pont-Vieux vers le quai Villebourbon, j'ai aperçu un groupe d'enfants qui descendait précédé par devinez qui… la guide de l'Office de Tourisme qui nous avait fait la visite de janvier. Etrange coïncidence. Après avoir échangé quelques mots je l'ai laissée à son groupe d'enfants avides d'écouter l'histoire de Montauban et ses anecdotes.

Après un aller retour entre le Pont-Vieux et le Pont-Neuf, j'ai poursuivi ma promenade en passant sous la dernière arche du Pont-Vieux qui donne sur la place Alfred Marty ou se trouvent d'autres hôtels et immeubles anciens de la ville. Puis, j'ai longé les berges du Tarn jusqu'au parc aménagé en bout de la rue Caussat.

 Hôtels-Montauban

Liste des hôtels et immeubles remarquables vus dans l'ordre des visites et de l'album photos:

1.   Au n° 14 de la rue de la rue des Soubirous-Bas, l'hôtel des Péchels;

2.   Au n° 52 rue de la Résistance;

3.   Au n° 62 rue de la Résistance, l'hôtel Marthe Blanche;

4.   Au n° 2 porte du Moustier, l'hôtel Rous de Feneyrols;

5.   Au n° 5 de la rue Lasserre, l'hôtel Vialètes de Mortarieu;

6.   Au n° 16 Place Franklin Roosevel, l'ancien Hôtel des Postes;

7.   Au n° 2 rue du docteur Lacaze, l’hôtel Montet-Noganet;

8.   Vues sur la Mandoune;

9.    Au n° 12 de la rue Armand Cambon, le Collège de Navarre et l'Académie protestante puis hôtel Galabert d'Aumont;

10.  Au n° 10 rue Armand Cambon, l’hôtel Lefranc de Pompignan;

11.  Au n° 6 rue Armand Cambon, l’hôtel de Colomb;

Montauban-5

12.  Au n°38 rue du Général-Sarrail et quai de Villebourbon, la passerelle de l'hôtel de Solinhac;

13.  Au n°36 rue du Général-Sarrail, l'hôtel dit hôtel Duroy, Bergis-Garrisson puis de Pelleport;

14.  Au n°32 rue du Général-Sarrail, l'hôtel dit de Rigail puis hôtel Deymié;

15.  Au n°23 quai Villebourbon, dos au 30 rue du Général-Sarrail, le restaurant "Le Ventadour";

16.  Au n°26 rue du général Sarrail, l'hôtel dit hôtel Mariette-Auriol puis Bouët-Sarrail;

17.  Au n°20 rue du Général-Sarrail, l'hôtel dit Bergis-Lacaze;

18.  Au n°22 rue du Général-Sarrail, l'hôtel dit de Blazy puis de Malpel;

19.  Au 24 rue du du Général-Sarrail, l'hôtel dit de Lacoste-Rigail puis de Bergis-Garrisson;

20.  Aux n°7-9 place Alfred Marty, immeuble remarquable;

21.  Au n°5 place Alfred Marty, l'hôtel dit de Lescure puis de Delmas-Grossin;

22.  Le Pont Vieux, le Pont Neuf et quelque vues depuis les berges du Tarn. I366 Hôtel Rous de Feneyrols

Fontaine de l'Hôtel Rous de Feneyrols

Je vous propose de prendre connaissance avec le paragraphe d'introduction d'une vingtaine d'hôtels particuliers et immeubles remarquables de Montauban. Si vous souhaitez en savoir plus je vous conseille d'allervisiter le site de l'Office de Tourisme dans lequel vous trouverez un historique et une description complète de chaque édifice.

1. L’hôtel de Pechels au 14 de la rue des Soubirous-Bas:

Au n°14 de la rue des Soubirous-Bas se dresse l’ancien hôtel des Péchels, grande famille d’avocats au XVIIe siècle. Parmi eux, nous connaissons Samuel de Péchels, qui dans ses Mémoires relate les violences dont furent victimes les huguenots lors de la révocation de l’Edit de Nantes. Refusant d’abjurer sa foi, il fut violemment chassé de chez lui par les Dragons de Louis XIV le 26 août 1685 puis déporté aux galères. Sa mère et sa sœur furent enfermées au couvent des Clarisses, comme de nombreuses autres femmes.

I317 Hôtel des Péchels

2 : Hôtel sans nom au52 rue de la Résistance:

Cet hôtel particulier s'élève dans la rue de la Résistance (ancienne rue Saint-Louis), rue la plus commerçante de la ville depuis le Moyen-Age. Cet édifice est constitué d'une tourelle d'escalier à pans coupés remontant au moins au 16e siècle. Il s'agit du vestige d'une demeure semblable à certains édifices constituant la place Nationale. Il est vraissemblable que cet hôtel particulier constitué au 18e siècle devient un immeuble de logements au cours du 19e siècle.

I330 Au 52 rue de la Résistance

3. L'Hôtel Marthe Blanche puis hôtel d'Escorbiac de Billières puis de Furbeyre au 62 rue de la Résistance:

Cet hôtel de la première moitié du 18e siècle est l’un des rares de Montauban à présenter une façade ornée. De délicates guirlandes de feuilles de chêne se déploient au-dessus du portail et des fenêtres, rehaussées d’agrafes sculptées. Celles du premier étage abritent des petits personnages grotesques qui scrutent les passants. I354 Hôtel Blanche

4. L'Hôtel Rous de Feneyrols au 2 porte du Moustier:

Reconstruit entre 1844 et 1849 sur l’emplacement d’un hôtel plus ancien, le grand hôtel de la famille Rous de Feneyrols présente un riche décor imité de l’antique, réalisé en terre cuite par les ateliers Virebent. I371 Hôtel Rous de Feneyrols

5. L’hôtel Vialètes de Mortarieu au5 rue Lasserre:

A l’entrée de la rue Lasserre, l’hôtel Vialètes de Mortarieu se distingue par son portail monumental, décoré d’une tête d’homme barbu d’inspiration mythologique et d’une guirlande de feuilles de laurier. Il précède l’une des plus vastes cours d’honneur de la ville, aménagée grâce à la fusion de plusieurs parcelles adossées aux anciennes fortifications.

6. Ancien hôtel des Postes au 16 Place Franklin Roosevel:

Il est caractéristique des bâtiments néoclassiques qui furent construit en nombre dans Montauban au XIXe siècle, l'ancien hôtel des Postes accroche le regard par la décoration en brique moulée de sa façade. Le premier étage est orné par les silhouettes élégantes des cariatides au-dessus des balustrades. Au second, des colonnes géminées prennent le relais.

7. L’hôtel Montet-Noganet au 2 rue du docteur Lacaze:

A côté du passage du Vieux Palais s’ouvre le portail de l’hôtel Montet-Noganet, orné d’une belle imposte en fer forgé. Au centre de celui-ci, les initiales dessinent un « J » et un « E » doubles. Elles pourraient désigner Jean (H) Erpailler-Duchesnau, receveur à la Cour des aides au milieu du siècle, condamné à mort par contumace pour avoir volé la recette de l’institution en 1762. I409 Hôtel Montet-Noganet

8. Vues sur la Mandoune

Laissez vous conter l'histoire de la Mandoune, "Dès le coucher du soleil, alors que les ombres s'étiraient lentement sur la façade du majestueux bâtiment des Jésuites, la cour de l'ancien collège a commencé à s'animer. Un à un les acteurs sont entrés en scène, jouant autour des bassins miroirs, installés dans la cour d'honneur, s'interpellant aux fenêtres illuminées, entraînant peu à peu les spectateurs, juste à côté sur les bords du ruisseau Lagarrigue, où se déroule l'histoire. Celle du meunier Mandou qui avait installé son moulin sur le ruisseau et était devenu prospère grâce à son épouse, La Mandoune. Celle-ci est entrée dans la légende, en donnant son nom, non seulement au ruisseau mais au vallon tout entier. Au rythme des allées et venues des comédiens, de leurs apparitions aux portes et aux fenêtres, le public se laisse emporter par l'histoire, imagine le quartier en 1710, les abords du ruisseau dégueulant ses déchets, grouillant de vie et de bruits, alimentant les commérages et jouant la vedette de ce spectacle qui nous fait redécouvrir une page de l'histoire de la ville. "

Commentaires sur un spectacle joué par les comédiens de la Compagnie de la Mandoune TPO relevés dans La Dépêche du Midi du 9 aoüt 2006 

I425 La Mandoune

9. Collège de Navarre et Académie protestante puis hôtel Galabert d'Aumont au 12 de la rue Armand Cambon:

Haut lieu de l'enseignement protestant puis catholique, l'ancien collège de Navarre fait partie des édifices reconvertis en hôtel. Devenu propriété d'un particulier, le bâtiment est réaménagé au cours du18e siècle puis à la fin du 20e siècle. Le collège protestant, construit sur l'emplacement de l'hôpital médiéval de Parias, a été fondé en 1579 sous le patronage d'Henri III et avec le soutien d'Henri et Marguerite de Navarre.

I427_H_tel_Galabert_d_Aumont

10. L’hôtel Lefranc de Pompignan au 10 rue Armand Cambon:

L’hôtel Lefranc de Pompignan a été construit à la fin du 17e siècle. Le rachat d’une partie de la parcelle voisine, qui appartenait autrefois à l’Académie protestante, a permis d’aménager un jardin, rare en centre ville. Cet hôtel fut la demeure du poète Jean-Jacques Lefranc de Pompignan (1709-1784), avocat, fondateur de l’Académie de Montauban et présenté comme le père naturel d’Olympe de Gouges, auteur de la Déclaration universelle des droits de la femme (1791).

I429_H_tel_Lefranc_de_Pompignan

11. L’hôtel de Colomb au 6 rue Armand Cambon:

Cet hôtel fut construit au 17e siècle par M. de Colomb, membre de la famille des seigneurs de Saint-Nauphary. Le corps de logis sur rue dissimule l’un des hôtels montalbanais les plus étonnants, qui abrita durant quelques années Jacques Dupuy. Premier consul de la ville, il fut le chef de file de la résistance montalbanaise lors du siège de la ville mené par les troupes de Louis XIII en 1621. I447 Hôtel de Colomb

12. L’hôtel de Solinhac au Quai de Villebourbon, 38 rue du Général-Sarrail:

L’hôtel qui jouxte le pont Vieux a été édifié à partir de 1631 par Jacques de Solinhac. Achevé en 1658, il recouvre l’ancienne église médiévale de Saint-Orens, probablement détruite par la crue du Tarn de 1618.I483_Passerelle_H_tel_de_Solinhac_38_av__Gal_Sarrail

Le Tarn vu du Quai de Villebourbon

 13. Hôtel de négociant et d'industriel dit hôtel Duroy puis hôtel Bergis-Garrisson puis hôtel de Pelleport au 36, rue du Général-Sarrail

D'après les recherches d'Aliette Neyret-Jalliffier, l'hôtel est construit autour de 1660 par Pierre Vialettes. En 1746, la propriété comporte une maison de 63 cannes et 20 cannes sur le quai. Côté quai, on remarque que la façade a été modifiée pour s'aligner avec les hôtels voisins. Cette modification a probablement lieu au cours du 19e siècle (après 1827) car elle n'est pas encore indiquée sur le cadastre napoléonien. Une avancée en rez-de-chaussée percée d'arcades est alors créée et permet la création d'une loggia et d'une terrasse aux étages supérieurs. 

I513b

14. Hôtel de négociant et d'industriel dit hôtel de Rigail puis hôtel Deymié au 32 rue du Général-Sarrail

D'après les travaux d'Aliette Neyret-Jalliffier, en 1636 existe déjà une maison de 100 cannes et une grange appartenant à Pierre Vezy bourgeois et marchand. On remarque que le rez-de-chaussée sur rue présente des ouvertures du 17e siècle : fenêtres à meneau de l'aile gauche, porte piétonne et porte cochère. Côté cour, les baies de l'aile sud semble également du 17e siècle. En 1649, Moyse Vezy l'héritier désire "faire construire et bâtir à neuf" sa demeure dans l'alignement des maisons longeant le Tarn... I491 Hôtel de Rigail puis Deymié

15. Restaurant : Le Ventadour au23 quai Villebourbon attenant au 30 rue du du Général-Sarrail:

Au pied du pont-vieux, cet ancien relais de poste du XVIIe siècle surplombe le Tarn face au Musée Ingres, superbe objet de notre patrimoine.

I496 Restaurant Le Ventadour

16. L’hôtel Mariette-Auriol au26 rue du général Sarrail:

Cet hôtel a été construit au milieu du XVIIIe siècle par la famille Mariette-Auriol. Ces riches entrepreneurs ont fait fortune dans le textile, exportant leurs produits jusqu’à Québec et MontréalI485 Pont Vieux-Musée Ingres

17. L'hôtel dit Bergis-Lacaze ou ancienne teinturerie Bergis puis presbytère de Saint-Orens au 20 rue du Général-Sarrail:

Cet hôtel est le résultat de la réunion de deux édifices en 1750 : celle de Marc Coffigal qui était une maison avec teinturerie et celle d'Urbain Bergis marchand teinturier. Cependant, la façade est encore dans le goût du 17e siècle. Au 20e siècle, l'hôtel servait de presbytère à la paroisse de Saint-Orens. Les ouvertures en rez-de-chaussée sont modernisées pour y abriter des commerces. I498 Hôtel Mariette-Auriol et Bouët-Sarrail

18. Hôtel de négociant et d'industriel dit de Blazy puis de Malpel au 22 rue du Général-Sarrail

D'après les recherches d'Aliette Neyret-Jallifier, entre 1654 et 1664, Jean de Blazy achète plusieurs parcelles contiguës. Le début de la construction date de 1664. En 1688, la communauté de Montauban achète une maison voisine pour y percer la rue publique qui relie la rue (actuelle rue du général Sarrail) aux bords du Tarn…

19. Hôtel de négociant et d'industriel, dit de Lacoste-Rigail puis de Bergis-Garrisson au 24 rue du du Général-Sarrail:

Hôtel particulier construit au début du 19e siècle pour Bernard Lacoste-Rigail, frère du peintre Jean-Jacques Rigail (1782-1853), suite à la vente de l'hôtel n° 32 de la même rue. Selon le cadastre napoléonien, le corps de bâtiment côté quai n'existait pas en 1827, il n'y avait qu'une vaste terrasse aménagée sur les salles voûtées du rez-de-chaussée. Selon Robert de Mentque, l'immeuble appartient en 1944 aux descendants directs des Lacoste-Rigail …I515_H_tel_de_Lacoste_Rigail_

20. Immeuble remarquable aux n°7-9 place Alfred Marty;

I529_Immeuble_Place_Alfred_Marty

21. Hôtel d'industriel dit de Lescure puis de Delmas-Grossin ancienne usine Heim au 5 place Alfred Marty:

D'après les travaux d'Aliette Neyret-Jallifier, en 1768, l'édifice est acheté par Jean Lescure, négociant. La maison consiste alors en quatre chambres en rez-de-chaussée, une basse-cour, deux cabinets, un jardin et un couroir sous une maison voisine. A la fin du 18e siècle, la maison comprend cour, jardin et dépendances. En 1845, les propriétaires Delmas-Grossin, famille de filateurs achètent la "maison contiguë sur le derrière avec un grand jardin" (hôtel Arnac). Ceux-ci réunissent les deux bâtisses…  

I530_H_tel_Delmas_Grossin__pl_Alfred_Marty

I539 Cherchez la boule

Partie de pétanque, cherchez la boule ?

22. Le Pont Vieux, le Pont Neuf et quelque vues depuis les berges du Tarn. I543 Au Fil de l'Eau

 Restaurant "Au Fil de l'Eau"I557 Collège St Théodard

Collège Saint Théodard

 

Références:

Photos: Alain BIGOU

Commentaires sur les h^tels particuliers : Office de Tourisme de Montauban: http://m.montauban-tourisme.com/fr

Inventaire Général du Patrimoine : http://www.culture.gouv.fr/culture/inventai/patrimoine/ d'après les travaux de Sarah Gerber, chargée d’inventaire.

 

Publicité
Publicité
Publicité